dimanche 8 avril 2012

Scotland

L’idée de partir en Ecosse est venue toute naturellement à la plupart des étudiants internationaux. Pour ma part j’y suis allé avec Madalina. Notre périple s’est étalé sur une semaine dans les villes d’Edinburgh et Glasgow. C’est donc en avril (j'écris l'article avec beaucoup de retard) que nous avons pris l’avion depuis Dublin direction Edinburgh.

Il nous fallait une photo de touriste ;)


Lors de la traversée de la ville en bus, lors de notre arrivée, nous étions aussi ébahis que le couple d’indiens assis à côté qui filmait tout et n’importe quoi (de l’intérieur du bus à l’arrêt dudit bus) : nous étions dans la ville du whiskey, de JK Rowling, des histoires de fantômes et des hommes en kilt !

Nous avons tout d’abord commencé avec la Miles Road dans l’ancienne ville, puis la visite du cimetière d’Adam Smith, en se disant qu’il y avait une blague à faire avec l’histoire de la main invisible. Nous nous sommes également empressés d’aller tester les bières Ecossaises. J’ai trouvé une Guiness-like très convaincante : la Deuchars. La soirée venue nous avons passé une soirée excellente dans des pubs Ecossais, concerts, et gens plutôt étranges et sympas. Un pub à faire est le « Royal Oak », qui est tout petit, mais qui vend du rêve avec ses femmes alcooliques qui vous soudoient pour que vous alliez lui acheter « a piiiiiiint of lager » et ses musiciens louches (dont un avait une petite amie bretonne, je me dois de le préciser)… Discussions surprenantes garanties ! Bref, une fois  en boîte de nuit (défilé de polos Abercrombie), nous avons regretté de ne pas avoir tenu plus longtemps compagnie aux clients du petit pub.

Les 3 jours suivants, nous avons suivi les bons conseils du Lonely planet de Madalina : visite du « parc » donnant vue sur Edinburgh, le café dans lequel l’ami Harry Potter est né (The Elephant House), la tombe de Greyfriars Bobby (le chien qui resta des années à monter la garde devant la tombe de son maître), le château, Mary Kings Cross (souterrains hantés : faites-le !!!), la nouvelle ville, et tant d’autres choses si sympa. Le bouquet final fut une pizza hyper pimentée (rien de typique pour le coup, je l’admet) dans un Pizza Express.

Quelque chose rapporté par le blog de Leonel est frappant: l'odeur si spéciale de la ville. Nous nous sommes longtemps demandés lors du voyage  quelle en était la cause... Un très célèbre moteur de recherche m'a affirmé que ce phénomène était dû aux émanations des fabriques de whisky (le houblon, plus précisément) environnantes. 




J'ai également craqué sur les différentes universités historiques de la ville: 



Dernier bon point pour  Edinburgh: celle-ci est séparée en deux, nouvelle ville et vieille ville. Cela permet de passer des vieilles rues historiques à un centre ville beaucoup plus commerçant, quand l'envie nous prend. Illustration:
Notez que la "nouvelle ville" (à droite) est loin d'être désagréable, construite au XVIIIème


Le château
 













Pour la suite de notre périple, nous avons pris le train pour nous rendre à Glasgow, ville dans laquelle nous avons passés une nuit avant de retourner sur Edinburgh. Je ne vous le cache pas : Glasgow est nettement moins intéressante qu’Edinburgh pour les touristes. Vous voulez mangez ? Vous aurez le choix entre un restaurant onéreux ou l’un des très nombreux kébabs de la ville. Envie de sortir dans un pub bien typique ? Les bars de nuit-karaokés ne manquent pas… En revanche si vous avez besoin de refaire votre garde robe le centre ville vous fournira nombre de boutiques fashion. Bon, le coup de gueule passé, je dois admettre que nous n’avions ni guide du Routard, ni Lonely Planet pour nous donner les bonnes adresses de la ville. Et il y a bien des choses sympa à faire : le musée, l’université (assez excentrée mais vraiment à faire, on s’y sent comme à Poudlard), et nous avons été accueillis par un bagpipe en sortant de la gare.


En haut: l'université d'Edinburgh à l'intérieur
A gauche: le musée de l'université
A droite: Une rue commerçante de Glasgow

Lors de notre retour à Dublin, nous avions encore des étoiles dans les yeux quand nous avons traversé Temple bar pour nous rendre dans notre auberge de jeunesse. 

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